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« Parlons peu, Parlons Ergo« , le podcast de vulgarisation des connaissances autour de l’Ergonomie. Ce projet a été lancé par les RAFE (Rassemblements et Associations issues de Formations en Ergonomie). Cette première saison est financée par la Self.

Le deuxième épisode du podcast est intitulé « Le télétravail et ses apports« . Paul Fortabat et Théo Porret reçoivent Martin Chadoin pour parler du télétravail et ses apports. La discussion aborde notamment la généralisation du télétravail en période de confinement, et la manière dont elle a modifié l’activité des travailleurs.

Le troisième épisode du podcast est intitulé « Table ronde des métiers de l’Ergonomie » . Pour cet épisode, Tamara Blaloeil et Paul Fortabat reçoivent Virginie Rascle, Benoit Langlois et Benoit Zittel pour échanger sur les différences, les points communs, et la synergie des praticiens de l’ergonomie.

Ecouter l’épisode 2
Ecouter l’épisode 3

Vous pouvez retrouver également les épisodes du podcast sur :

Nous vous signalons l’appel à communication du n°47 de la Revue de Socio-anthropologie, dont nous avons pensé qu’il pourrait vous intéresser. Le thème de ce numéro porte sur  « Numérique au travail, un moment politique ? Ce que les systèmes d’information numériques font au travail »

Ce numéro, qui s’adresse à un large ensemble de disciplines (socio-anthropologie, sociologie, ergonomie, sciences de gestion, économie, informatique…), interrogera l’influence que les systèmes d’information numériques exercent sur la vie des organisations et celle de leurs salariés.

L’appel complet est téléchargeable par le lien ci-après ou consultable sur le site de la revue : https://journals.openedition.org/socio-anthropologie/10986

Appel à communication

Bruno Michel, Gérard Bouché et Pascale Josse – praticiens de l’aménagement des espaces tertiaires – ont souhaité interpeller la communauté sur le besoin d’évolution de la Norme française X35-102 portant sur la conception ergonomique des espaces de travail en bureaux. Cette démarche a lieu en parallèle du processus de réflexion et de mise à jour de cette norme au sein de la commission Afnor X35A en charge de cette norme.

Pour expliciter leur point de vue et exposer leurs attentes sur cette norme, les trois collègues praticiens proposent un support explicatif.

Lire le document

Par ailleurs, l’AFNOR a souhaité préciser quelques points sur le processus de normalisation :

«  La norme en vigueur NF X35-102 date de 1998, c’est une norme d’application volontaire qui est le fruit d’une co-production consensuelle entre les professionnels et les utilisateurs qui se sont engagés dans son élaboration.
Une norme volontaire repose sur l’obtention du consensus entre tous les acteurs, c’est un cadre de référence qui se construit au sein d’une commission de normalisation et qui est validée au final par une enquête publique. Cette dernière étape avant la publication donne la parole aux futurs utilisateurs de la norme où chacun est invité à faire part de ses commentaires accompagnés de propositions d’amélioration.
La révision de la norme NF X35-102 a débutée en 2016, elle est à l’initiative de la commission de normalisation sur l’ergonomie (AFNOR X35A). Un large appel à volontaires a été lancé pour participer à cette révision. Des disciplines telles que l’ergonomie, l’architecture, la santé au travail, la prévention, représentant des organismes de toute taille, ont rejoint la commission de normalisation. Une grande diversité de points de vue a été prise en compte pour obtenir, après de nombreuses réunions, un consensus entre tous les acteurs engagés dans la commission.
Les recommandations exprimées dans la norme s’adaptent en fonction du contexte du projet d’aménagement et des spécificités de l’organisme concerné (taille, typologie des métiers, population, structure du projet, etc.). Elle s’adresse aux acteurs de la conception et de l’aménagement des locaux et aux acteurs de la santé et de la sécurité au travail.
Pour finaliser la rédaction de la norme et valider son contenu, une enquête publique élargie sera ouverte à tous, elle est programmée pour février 2022. Vous serez invités à y participer pour faire valoir votre point de vue afin de disposer d’une norme répondant aux pratiques actuelles des espaces de travail en bureaux et à leurs évolutions prévisibles. L’invitation sera largement diffusée dans les réseaux professionnels. »

A ce jour l’enquête publique est en ligne et chacun est invité à y participer. La date limite de réponse est au 15 mars 2022.

accéder à l’enquête en ligne

Nous ne pouvons que vous inciter à prendre connaissance des différents éléments d’information à notre disposition (le projet de norme téléchargeable, les propositions des collègues) pour savoir si vous souhaitez contribuer à enrichir la proposition initiale. Nous sommes également preneur de vos réactions, de vos commentaires, de vos analyses autour des questions de normalisation et autour de la thématique de la conception des espaces de travail. N’hésitez pas à nous envoyer vos contributions que nous publierons à la suite de ce post (à l’adresse suivante communication@ergonomie-self.org).

Initié et organisé par les Organisations Représentant les Métiers de l’Ergonomie (ORME), le recensement des ergonomes 2021 a été un succès – avec plus de 1300 répondants !

Les premiers résultats ont d’abord été présentés aux Journées de Bordeaux en avril, puis les résultats complets ont été présentés en direct en novembre lors d’une visioconférence spécialement organisée.

En tant qu’association fortement engagée en sein d’ORME, la Self a le plaisir de partager les résultats du Recensement des Ergonomes 2021 !

Résultats RE 2021

Pour les associations constitutives de ORME (Organisations Représentant les Métiers de l’Ergonomie), l’objectif de cette enquête est qu’elle soit diffusée et utile au plus grand nombre. N’hésitez donc pas à partager et à diffuser ce travail autour de vous.

Vous pouvez également retrouver plus d’informations sur ORME et les résultats du recensement 2015.

« Emotions, travail et sciences sociales » est un ouvrage écrit sous la direction de Régine Bercot, Aurélie Jeantet et Albena Tcholakova, paru aux éditions Octares.

Résumé : En quoi la prise en compte des émotions permet-elle de mieux analyser les dynamiques au travail ? La pluralité des chapitres vise à répondre théoriquement et concrètement à la question en montrant que les émotions dialoguent avec le sens du travail et son organisation, impulsent ou réduisent les potentiels d’action.
Les émotions jouent comme révélateur des conditions de travail et participent activement des spécificités professionnelles. L’expression des émotions est sociale et genrée (Angelo Soares). Elles peuvent être prises dans des rapports de domination et instrumentalisées par autrui pour conduire à des comportements particuliers, ainsi qu’en témoigne Patricia Paperman. Elles supposent toujours une activité de travail spécifique pour les assumer, les mettre à distance, les exprimer ou les taire selon les contextes et les situations. Cela peut conduire, lorsque l’organisation du travail est pathogène, à une désaffection, risquée pour le sujet (Thomas Périlleux). On pense couramment à la dimension individuelle de ce travail sur les émotions mais l’ouvrage montre qu’il fait l’objet d’une appropriation collective (Julien Bernard) et parfois institutionnalisée comme dans les hôpitaux (Michel Castra), ce qui permet de penser qu’une prise en charge organisationnelle des émotions est possible. À quand sa généralisation ?

Plus d’informations

Principales tâches :

Début / durée : 1 an (possibilité d’un renouvellement durant une seconde année)

Equipe : Pr. F. Darses, cheffe du département NSCo (Neurosciences et  sciences cognitives), Institut de recherche biomédicale des armées  (IRBA) et CDT Julien Donnot (PhD), expert FH au DMAO/CEAM/AA

Salaire : Environ 2100 / mois

Conditions du recrutement :

Conditions particulières :

Environnement

L’Institut de Recherche Biomédicale des Armées (IRBA)*est l’établissement du Service de Santé des Armées dédié à la recherche biomédicale appliquée aux milieux d’emploi des forces armées. Le Département Neurosciences et Sciences cognitives (NSCo) comprend trois unités dont les recherches portent sur l’impact des contraintes des systèmes opérationnels sur la santé et la sécurité des opérateurs. Celles de l’unité d’Ergonomie cognitive des situations opérationnelles (ECSO) à laquelle le/la post-doctorant(e) sera rattaché(e) visent à identifier les processus socio-cognitifs qui fondent l’adaptation des opérateurs militaires aux contraintes des environnements dynamiques et à risques dans lesquels ils évoluent.

Au sein du Centre d’expérimentations aériennes militaires (CEAM), la cellule Ergonomie et FH*, composée de cinq personnes, détient l’expertise de l’ergonomie des systèmes de combat aériens. Elle mène les expérimentations préliminaires à la mise en service opérationnel des nouveaux matériels et réalise toute expertise contribuant à l’amélioration de la sécurité et de la performance humaine quant à l’emploi de l’arme aérienne.

Envoi des candidatures :

« Parlons peu, Parlons Ergo« , le podcast de vulgarisation des connaissances autour de l’Ergonomie. Ce projet a été lancé par les RAFE (Rassemblements et Associations issues de Formations en Ergonomie). Cette première saison est financée par la Self.

Le premier épisode de Parlons peu, Parlons Ergo, intitulé « Face à la souffrance au travail », interview de Patricio Nusshold sur les questions de psychodynamique du travail, d’engagement, d’organisation du travail ou encore de la souffrance. Cet épisode est présenté par Thibaud Marcou, Cassandre Dubost.

Ecouter l’épisode

Vous pouvez retrouver l’épisode sur :

Vous pouvez également suivre l’actualité de Parlons peu, Parlons ergo sur :

La Self a le plaisir de partager les dernières nouvelles de la Fédération Européenne des Sociétés d’Ergonomie (FEES) :

L’Association pour la Recherche en Psychologie Ergonomique et Ergonomie (ARPEGE) organise une fois par an des doctoriales ; soit spécifiquement lors d’une journée organisée par ARPEGE, soit dans le cadre du colloque EPIQUE. Cette année, elles se dérouleront le mardi 14 Juin 2022 à Paris.

Les doctoriales proposent à des doctorants en 1ere, 2ème ou 3ème année de thèse, un atelier collectif d’une journée, afin de présenter leurs travaux en leur état d’avancement, de partager leurs idées et premières expériences avec d’autres doctorants et de profiter des conseils d’un comité de volontaires, chercheurs et professeurs, dans les domaines d’intérêt de l’Ergonomie et de la Psychologie Ergonomique. Leur but est d’aider les doctorants, en fournissant des retours d’information et des conseils dans une atmosphère constructive et détendue.

Les doctoriales sont organisées par l’association ARPEGE, avec la participation du RJCE, le soutien du CE2.

Dates à retenir :

Modalités de soumission :
Les soumissions pour ces communications seront de 6 pages, selon le même format de présentation que celui d’Epique et doivent présenter le cadre théorique et méthodologique et résumer les travaux en cours.
Fichier type : http://arpege-recherche.org/activites/doctoriales/doctoriales-2022
Les propositions doivent être envoyées à Liliane Pellegrin & Françoise Anceaux.

Afin de favoriser les rencontres entre doctorants et discutants, une aide financière pourra être accordée sur demande aux étudiants ne bénéficiant pas de financement de leur laboratoire pour le déplacement et l’hébergement (les demandes doivent être adressées également à Liliane Pellegrin).
Ces doctoriales seront mises en ligne sur le site ARPEGE sous licence Creative Commons CC BY-NC-ND.

Contacts : anceauxfrancoise1@gmail.com / liliane.pellegrin_chaudet@univ-amu.fr

Régis Mollard est décédé le 18 décembre 2021, dans sa 71ème année. Après un début de carrière comme chercheur en physiologie au CNRS, il est nommé professeur d’ergonomie physiologique à l’Université Paris-Descartes lors de la retraite du Pr Alex Coblentz et lui succède à la direction du Laboratoire d’Anthropologie Appliquée. Il y réorganise les enseignements d’ergonomie physiologique et contribue harmonieusement à la réunion des entités physiologique et psychologique de l’ergonomie au sein de cette université, d’abord pour l’enseignement, puis pour la recherche.

Le thème de ses propres recherches et de ses enseignements portait principalement sur l’anthropométrie appliquée à la modélisation et la conception des postes de travail sur divers terrains d’application. Il affiche clairement une orientation « Facteurs Humains », s’adressant prioritairement à l’ingénierie et au management.

Parmi ses publications récentes, on note un ouvrage en codirection avec Marion Wolff publié en 2020 chez Octarés (Pratiques de l’ergonomie : de la méthode aux applications) et l’article Anthropométrie dans l’ouvrage collectif publié en 2021 chez Dunod par Eric Brangier et Gérard Valléry (Ergonomie : 150 notions clés).

Fraichement retraité, il aimait s’investir dans des participations festives du Pays Basque, devenu sa région d’adoption, et aussi ergonomiques à l’ESTIA de Bayonne.

À sa compagne, Marion Wolff, et à ses proches, la SELF présente ses condoléances.