Depuis l’accident de Tchernobyl (avril 1986), le manque de culture de sûreté est apparu comme l’une des causes majeures dans presque toutes les analyses des grands accidents industriels. Concept « fourre-tout » pour les uns, à la fois peu robuste théoriquement et peu opérationnel ; pour d’autres, vraie opportunité de rupture avec la cause unique du « manque de rigueur » de l’intervenant final, et donc ouverture possible vers les causes liées aux organisations et aux décisions managériales. En tant que spécialiste Facteur Humain, quels moyens proposer pour que le fonctionnement des organisations et les pratiques des managers amènent à développer la culture de sûreté ? Permettent d’assurer, quelles que soient les contraintes, la primauté à la sûreté ?
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