Cette communication traite de la question du recours à la sous-traitance dans le secteur nucléaire. Partant du constat que la sous-traitance s’est développée dans le nucléaire depuis les années 1990 en France et qu’elle prend des formes plus complexes, la communication aborde la question des risques que cette forme d’organisation du travail pourrait induire et qui seraient susceptibles de conduire à une perte de la maîtrise de la sûreté des installations nucléaires. Pour répondre à cette question, les résultats de plusieurs études réalisées par l’Institut de Radioprotection et de sûreté nucléaire sont mobilisés.
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