À partir d’une demande formulée par la Direction du Service Infirmerie d’un Hôpital Universitaire au Brésil liée a des préoccupations sur les impacts provoqués par des changements organisationnels il a été proposé la constitution d’un groupe de travailleurs en vue de construire un espace de parole. Les résultats nous montrent des questions fondamentales à propos de ce type de travail : être auxiliaire-infirmier pourrait être compris, vu, apprécié comme une profession de support, d’aide, où l’application de procédés consacrés devrait être suffisante pour accomplir les tâches de manière satisfaisante. Toutefois ce que les aides-infirmiers savent et font dans la réalité n’est pratiquement pas reconnu. Il nous semble qu’un premier pas a été fait par le simple fait d’avoir créé un espace de libre circulation de la parole pendant les séances, vu que pour ces travailleurs sortir de l’anonymat, de l’ombre, est une question cruciale.
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